Avernus Belkster

Journal d'Avernus Belkster a écrit:Enfin mes chaussures m'ont emmené dans un coin ni trop mort, ni trop dangereux. Blodford que ça se nomme comme patelin.

Même si en soit ça m'a l'air d'une ville encore sacrément chaotique, vu qu'on peut bosser un peu n'importe où un peu n'importe comment. Faut croire qu'ici les gens aime bien vivre au jour le jour. Pas moi.
Je suis d'ailleurs sur une piste d'un emplois stable, on va voir ce que ça donne.

Je vais peut être rester ici un p'tit moment, au moins le temps de me refaire, si c'est possible, sinon je vais vite prendre mes cliques et mes claques.

Journal d'Avernus Belkster a écrit:Ca va bientôt faire deux semaines que je suis à Blodford, et jusqu'à avant-hier tout allait bien finalement.

Je me suis trouvé un emplois plus que convenable au club de monsieur Kaanut, les clients savent se tenir, et l'ambiance qui y règne est agréable. Un concurrent à ouvert ses portes il y a quelques jours, la Détente a, du coup, quelques clients de moins, mais on peut fournir un service de qualité. J'ai l'impression que ce nouveau club est plus un camarade qu'un concurrent.

Donc comme je disais juqu'à il y a deux jours tout allait bien. Mais apparemment une tripoté de petits truands viennent d'arriver en ville. Le nombre de vols c'est accru de façon inacceptable, si l'on peut déjà considérer un vol comme acceptable... J'ai moi même été victime de près de 20$ de larcin ! En tout cas j'ai porté plainte par courrier. Mais la police n'a pas l'air de beaucoup bouger.

Sinon mon frère Aleister est arrivé à Blodford. Je suis pas sûr qu'il si plaise, mais ça sera toujours mieux que là d'où on vient.

Journal d'Avernus Belkster a écrit:
Le temps passe doucement et les choses bougent on dirait bien. La travail au club est un peu trop calme à mon goût, vu le nombre de clients ces derniers jours, je suis pas certains de garder mon emplois. Enfin on va essayer de le garder quand même.

Mon frère a retrouver le sourire depuis quelques jours, il se serait même fait un ami, Ettore Svalino, l'imprimeur. Ma foi, il passe pas mal de temps ensemble et Ettore nous à proposer de nous héberger quelques temps. Dormir entre des piles de feuilles n'est pas si inconfortable qu'il n'y parait.

On a aussi décidé de se serrer un peu la ceinture, vu que sans les emplois municipaux, on a moins de revenu. Pour l'instant je ne suis tombé que sur des assiettes de gruau à peu près propre et mangeable, et nous n'avons pas trop été dérangé pendant les repas, faut dire qu'on y va pas à une heure de pointe.

Sinon, il parait que la ville n'a plus de Police... encore un truc qui va encourager les délinquants...